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Article : [339] - Étudier La Controverse de Valladolid


lundi 18 juillet 2005

Par Fabienne Pouliquen

Il s’agissait de juger de la possibilité d’étudier La Controverse de Valladolid, de Jean-Claude CARRIÈRE, en classe de Première, en se demandant si on pouvait croiser par cette étude les objets d’étude « Convaincre, persuader, délibérer : le dialogue » et « Un mouvement littéraire et culturel : l’Humanisme ».
Synthèse mise en ligne par Catherine Briat.
Synthèse complétée le 3/12/2006

Pistes d’étude

  Il existe à la fois un roman édité chez Pocket et une pièce de théâtre éditée chez Garnier-Flammarion (n° 2164). Cette dernière semble plus facile d’accès que le roman, plus vivante aussi, et comporte un dossier et des textes complémentaires utiles portant sur le thème de l’altérité (textes de Primo Levi, Montaigne, Diderot, Voltaire, Gobineau, Céline).
  Un exemple de séquence pour les classes de lycée sur le site du Lycée Lamour à Nîmes.
  Un dossier à regarder absolument dans Le guide de l’enseignant lycée Garnier-Flammarion 2003/2004 comportant une présentation rapide de la pièce et des aides pour trois ou quatre lectures analytiques.
  Un manuel scolaire pour le lycée, contient une séquence complète sur La Controverse de Valladolid (le roman). Peut-être le Hachette Méthode et Technique ?
  Le guide Pocket Classiques n°6285 propose une analyse de l’oeuvre (contexte historique, auteur, lignes de construction, thèmes d’étude). Cet ouvrage est adapté pour l’étude du roman mais il est néanmoins possible de prendre quelques idées pour la pièce de théâtre.
  Une adaptation cinématographique de Daniel Verhaeghe, jouée par Jean Carmet dans le rôle du Légat, Jean-Pierre Marielle dans le rôle de Las Casas et Jean-Louis Trintignant dans le rôle de Sepulveda. Cette vidéo peut permettre aux élèves de mieux cerner les principales étapes de l’oeuvre et les enjeux. La scène où les Indiens sont amenés devant le Légat pour être observés plaît particulièrement.

Ouvrages et documents de référence

  ANS André-Marcel, article sur Bartolomé de La Casas paru dans le numéro 842 de La Quinzaine Littéraire (16-30 novembre 2002).
L’auteur indique précisément la place qu’il faut donner à cette controverse dans la critique de la conquête.
  MONTAIGNE, « Des Cannibales » et une étude dans la collection « Résonances » (Ellipses), ainsi que des commentaires de TODOROV dans « Nous et les autres ».
  Dario FO, Johan Padan à la découverte des Amériques : long monologue dans l’esprit de la Commedia dell’arte écrit pour les commémorations de 1992 ; le héros est un mauvais garçon vénitien embarqué sur une caravelle de Colomb qui devient une sorte de dieux pour les « Indios » ; à rapprocher aussi, par certains aspects de Candide
  LE CLEZIO, Le rêve mexicain.
  LE CLEZIO, « Après 400 ans de massacres et d’injustices. Pour les Amérindiens », Le Nouvel Observateur, 16-22 juillet 1998
  Un article de Saramago paru dans Le monde diplomatique sur la conditions des Indiens du Chiapas
  Pour varier les approches : « La découverte de l’Amérique » dans Pastiches et postiches d’U. ECO.
Une parodie calquée sur le premier pas de l’homme sur la lune (reportage télé avec des tas d’experts en studio, envoyés spéciaux, rupture de communication...)
  Un peu en marge, le film La mission.
  L’Amérique espagnole, de Colomb à Bolivar (Editions Belin Sup Histoire) (1993).
Le chapitre 5 s’intitule « Las Casas et la défense des Indiens ». Il est intéressant et propose des extraits de différents ouvrages sur La Controverse qui pourront servir de documents d’accompagnement ou de groupement de textes.
  LAS CASAS Bartholomé, Historia de las Indias reste de toute façon la meilleure référence.

Se procurer l’enregistrement de la pièce

  Le film a été originalement édité en vidéocassette par La Sept vidéo/France 3. Datant de 1992, cette version doit donc encore exister dans certains commerces spécialisés. Elle est actuellement au catalogue d’Arte dans un coffret consacré à trois films dans lesquels a joué Jean Carmet : le prix s’en trouve donc d’autant plus élevé.
Isolément, le film est en tout cas disponible à l’achat auprès de l’ADAV (Ateliers Diffusion Audiovisuelle, 41, rue des Envierges, 75020 Paris, tél. 01 43 49 10 02, mèl [email protected]).
Rappelons que l’ADAV a pour vocation de diffuser un grand nombre de documentaires et films de fiction exclusivement auprès d’organismes à vocation culturelle, socioculturelle, éducative (donc des établissements scolaires), à caractère non commercial. Tous ces films ne sont pas autorisés à une diffusion libre de droits en classe. Loin s’en faut. L’ADAV dispose certes de plusieurs films (en fait surtout des documentaires) pour lesquels les droits d’utilisation "dans l’emprise des locaux de l’organisme acquéreur" sont étendus à des publics restreints ("par exemple, les élèves d’une école..."), à la condition "de ne pas faire de publicité extérieure". Mais la majorité de ses titres ne bénéficient pas de cette extension des droits d’utilisation. C’est malheureusement le cas de La Controverse de Valladolid.

Avis des colistiers sur l’étude de l’Å“uvre

  Cette oeuvre ne me paraît pas difficile : je l’ai fait lire à une seconde de bon niveau l’an dernier. Cette année, j’ai croisé « Convaincre... » et « l’humanisme » : j’ai conseillé la Controverse en lecture cursive autonome et le professeur d’espagnol leur a fait étudier le film TV.
  J’ai étudié l’an dernier en seconde La Controverse, version théâtre (que je trouve très agréable et plus digeste que la version romanesque). Je vous conseille l’étude de cette oeuvre, notamment en parallèle avec le téléfilm qui en a été tiré avec Trintignant, Carmet, etc. Le sujet - les indiens ont-ils une âme ? - et tout le travail sur le contexte historique et culturel de la conquête des Amériques passionnent les élèves ! Vous pouvez étudier cette oeuvre en oeuvre intégrale en 1re dans le cadre de « Convaincre, persuader... le dialogue ». En revanche, si c’était dans le cadre de l’Humanisme, je la conseillerais plutôt en lecture cursive, en complément d’un GT du XVIe siècle, en lien avec la découverte des Indiens, la question de l’altérité. Il vous faudra alors peut-être faire un sondage préalable pour savoir si cette oeuvre n’a pas déjà été étudiée en seconde.
  Je n’ai pas travaillé sur cette oeuvre, mais ma tutrice l’a fait cette année avec une classe de seconde à projet (d’un niveau très moyen) et j’ai assisté à ses cours. La séquence fonctionne bien, mais je dois dire qu’elle est entrée dans l’oeuvre d’abord avec le film, ce qui a peut-être facilité la lecture du texte par la suite. Elle l’a en effet abordée dans la perspective de l’étude de l’argumentation croisée avec celle de l’altérité. C’est un texte qu’elle inscrit souvent dans son projet, c’est qu’il doit fonctionner.
- Je l’étudie souvent sans problème avec des classes de seconde ; il faut simplement passer du temps à expliquer - faire découvrir - le contexte et essayer de leur faire percevoir la place de la religion, sur laquelle se fondent toutes les argumentations. En général, cela intéresse les élèves, ce qui facilite grandement le travail.
  Les collègues qui le font découvrir disent que cela passe (très) bien. Nos collègues nous demandent de faire attention au choix de l’édition : il existe une version théâtrale, et une version romanesque. Le film est aussi une bonne aide. Personnellement, j’ai tenu compte de tous ces avis, pour donner des conseils de lecture de vacances à mes secondes.
  L’an dernier, une des mes collègues l’a étudié en première et c’est très bien passé.
  J’ai étudié cette année La Controverse avec des élèves de 1re STT et cela s’est bien passé, ils n’ont pas trouvé le livre trop complexe, il faisait partie des lectures données pendant les vacances, ce qui a sans doute facilité les choses. De plus la vidéo aide bien !
  L’oeuvre est un peu indigeste pour des élèves et peu aisée à analyser, à comprendre pour eux. Mais cela dit, pourquoi pas ? J’ y avais pensé pour cette année, j’y ai renoncé, je n’ai fait qu’un extrait et cela a été peu évident pour les élèves.
  J’ai travaillé cette oeuvre en seconde, dans le cadre de l’altérité et l’argumentation. J’ai deux classes, une extrêmement faible. Ils refusent de travailler et je me suis battue pour qu’ils lisent. Ça n’a pas vraiment marché. En revanche, dans le cadre d’une 2de d’un niveau satisfaisant, ça s’est très bien passé. C’est une oeuvre très intéressante pour travailler sur la diversité des techniques d’argumentation, ce qui est tout de même assez artificiel sinon. Le sujet a plu aux élèves, et ils ont découvert beaucoup de choses qu’il ignoraient historiquement. Je pense que travailler sur l’Humanisme est une très bonne idée, car Las Casas est très représentatif des idées humanistes. De plus, le contexte des grandes découvertes s’y prête bien. Cela me semble tout à fait accessible pour une classe de 1re ES. Ce qui est indigeste dans la lecture, ce sont les trois premiers chapitres. Il faut prévenir les élèves, éventuellement les accompagner dans cette lecture, mais la suite « passe » bien. Vous pouvez éventuellement leur joindre un lexique ainsi qu’une liste des personnages cités que l’on trouve dans l’appareil critique (« Les guides pocket critique »). Vous avez aussi le film tiré de cette oeuvre, je l’ai acheté en DVD et c’est un bon accompagnement.
  Je l’ai étudiée l’an dernier et cela avait assez bien marché, à condition de choisir des extraits simples en lecture analytique (certains sont en effet trop compliqués) et de passer quelques extraits du film. J’ai étudié la pièce de théâtre, pas le récit.
  Je n’ai étudié que des extraits de cette oeuvre en 2de comme en 1re. Pour les 1re il s’agit souvent de leur texte « préféré » au bac mais l’oeuvre entière, je ne sais pas...
  J’ai expérimenté avec succès La Controverse cette année avec des première STI Arts Appliqués. Je n’ai pas mis ce travail en relation avec l’Humanisme, mais l’étude de la rhétorique m’a permis de passer en douceur vers l’étude de l’apologue (une fiction narrative permet-elle l’expression d’une pensée ou d’une opinion ?) par l’intermédiaire d’un jeu de rôles, controverse sur la façon d’aider la Cigale, qui se meurt de n’avoir pas suffisamment gagné de quoi survivre à l’hiver...
  Il est possible de tester la version « théâtre » face à la version « roman » : mes élèves L et S ont préféré le théâtre, qui ressemblait plus au film qu’ils ont vu également... l’ensemble en « lecture cursive » est bien passé !
  Je confirme : je l’ai étudiée cette année en 2° et c’est sans conteste l’Å“uvre qu’ils ont préférée.
  J’ai personnellement travaillé sur ce texte en seconde à deux reprises dans le cadre de l’altérité en complétant avec des textes de Montaigne ou Jacquard et la lecture cursive de Cannibale de Didier Daeninckx : vérifiez qu’ils ne l’ont pas fait avant la première... Par ailleurs même si certains passages sont difficiles (certains n’ont pas compris au début l’argumentation) il me semble que c’est bien passé : de plus le téléfilm avec Carmet, Trintignant et Marielle est vraiment très fidèle et intéressant à utiliser.
  Je l’ai fait lire l’an dernier dans une classe de 1re L, mais « simplement » en accompagnement d’une séquence sur l’Humanisme (pour laquelle j’avais travaillé Montaigne, des chapitres des Essais) ; le texte leur a semblé ardu en effet ; en revanche, avec l’adaptation télévisée, les choses se sont bien éclaircies, et cela a permis le croisement avec une forme de « réécriture », objet d’étude abordé plus tard. En conclusion : OUI, c’est difficile ; NON, je ne l’étudierais pas en O.C.
  J’ai déjà étudié cette oeuvre avec des 1re SMS d’adaptation et des STT. Ce n’est pas plus difficile pour eux que quoi que ce soit d’autre... De plus, on peut croiser avec l’Humanisme puisque l’action (si l’on peut dire) se situe à la même époque, et on peut observer comment les humanistes ont envisagé eux-mêmes le problème (textes de Montaigne, naturellement).
  J’en profite pour conseiller aux collègues la version écrite théâtrale, plutôt que la version narrative. Et le film est vraiment excellent... Au plan de l’argumentation, le texte est parfois difficile, mais si les élèves sont guidés, nous pouvons leur montrer une argumentation très structurée à condition évidemment de la replacer dans le contexte politique, social, et, surtout, religieux, de l’époque.
  J’ai étudié l’oeuvre dans le cadre de « convaincre » mais étant en STT, je n’ai pas abordé véritablement le mouvement qui n’est pas au programme de cette section. En revanche j’ai étudié des textes complémentaires de Montaigne et des philosophes.
  J’ai fait l’expérience de cette oeuvre, version novellisée justement avec une première ES l’année dernière. Effectivement, il y a le problème de la lecture, il faut prévoir avant celle-ci une solide présentation de l’Espagne, des voyages de Découverte pour qu’ils ne soient pas démunis. Les questions religieuses de ces découvertes leur échappent aussi souvent. Malgré cela, ils ont trouvé difficile la lecture, je leur ai donc fait voir la cassette avant toute étude d’extrait. L’étude en elle-même a été fort intéressante, les élèves perçoivent bien le fonctionnement de l’argumentation et arrivent à voir qu’un raisonnement argumentatif, même apparemment bien construit, peut être faux. Pour avoir étudié l’Entretien d’un père avec ses enfants l’année précédente, je crois que la Controverse est mieux passée, j’ai moins « traduit » le texte. Pour construire ma séquence, je me suis appuyée sur le guide du professeur (Magnard ?) que les éditeurs nous envoient.
  Je ne trouve pas du tout que La Controverse soit difficile, je crois même qu’elle pourrait être proposée à des élèves de troisième. Je l’ai proposée à mes 2de STL qui ont été très touchés par « l’évènement ». Elle permet d’aborder l’argumentation (ce qu’on dit et comment on le dit ou convaincre et persuader, les types d’arguments, entre autres...) et l’Humanisme (des questions qu’on se pose à cette époque) et dans nos classes multiculturelles, cette oeuvre ne laisse personne indifférent. Par ailleurs j’ai trouvé en vente en ligne le dvd pour une somme raisonnable. Vraiment bien.
  Utiliser l’oeuvre comme OI me semble mal venu pour étudier l’Humanisme...car il ne s’agit pas d’une oeuvre de cette époque. C’est une oeuvre d’imitation qui cherche à plaire à un public des années 80 qui se lamente sur le sort des pauvres Indiens d’Amazonie et la colonisation... et a une dimension sociologique. L’image finale du Noir révèle le didactisme de celui qui a connu les grands mouvements antiracistes. Ce serait à mon sens comme vouloir étudier le baroque avec La Reine Margot. La lecture cursive au contraire est une bonne idée, l’oeuvre plaît aux élèves, en général parce qu’il y a le support de la vidéo. La qualité littéraire n’est en outre pas toujours au rendez vous ; et vous risquez parfois d’être bien dépourvue par rapport à certains passages. Donc je vous conseillerai de travailler plutôt l’essai de Montaigne sur les cannibales en traduction et de faire le lien avec cette Å“uvre.
  Je suis perplexe..., non pas sur la pertinence du choix de cette oeuvre pour nos élèves, mais sur son rapport avec la réalité historique... Voici ce que j’ai lu récemment : dans un article paru dans le Nouvel Observateur du 23 décembre 2004 au 5 janvier 2005, page 85, Michel de Pracontal écrit à propos de La Controverse de Valladolid : « Contrairement à une légende tenace, relayée par un téléfilm de Jean-Daniel Verhaeghe (1992), il ne s’agissait nullement de trancher la question de savoir si les Indiens avaient une âme ! Comme le démontre l’historien Jean Dumont (La Vraie Controverse de Valladolid, ed. Criterion), la reine Isabelle la Catholique "avait découvert l’homme et l’âme dans l’Indien, en même temps que Colomb découvrait les Terres nouvelles, dès 1492-1493". Isabelle s’oppose à l’esclavagisme de Colomb, et affirme que les Indiens doivent être traités en hommes libres. Mais les bienveillantes intentions de la reine, décédée en 1504, n’évitent pas la destruction massive des peuples amérindiens. » M. de Pracontal évoque un livre de Tzvetan Todorov (La Conquête de l’Amérique, ed. Seuil, 1982) selon lequel le point culminant de la controverse serait le suivant : « Est-il justifié de soumettre les Indiens pour sauver les vies qu’ils immolent lors de leurs sacrifices humains ? Pour Sepulveda, l’avocat de la conquête, la réponse est à l’évidence affirmative. Las Casas soutient que la pratique des sacrifices, si choquante soit-elle, procède d’un sentiment religieux : on offre à son Dieu ce qui est le plus précieux, or "rien dans la nature n’est plus grand ni plus précieux que la vie de l’homme ou l’homme lui-même". » Pour Todorov, Las Casas est le premier moderne à mettre en évidence « la relativité de la notion de "barbarie". Les Espagnols ne doutent pas que les Indiens aient une âme, mais n’imaginent pas que le salut passe par un autre chemin que le baptême ; la position de Las Casas est d’autant plus extraordinaire qu’il partage cet ethnocentrisme. »
  En faisant des recherches sur internet on trouve des documents qui aident à répondre à cette question : extraits d’ouvrages de Las Casas, préface du récit de Jean-Claude Carrière... En effet, j’ai lu certains messages de seiziémistes sur cette liste qui rappelaient le caractère extrêmement fantaisiste du livre et du film, du point de vue historique.


Ce document correspond à la synthèse de contributions de collègues
professeurs de lettres échangées sur la liste de discussion Profs-L ou en
privé, suite à une demande initiale postée sur cette même liste. Cette
compilation a été réalisée par la personne dont le nom figure dans ce
document. Ce texte est protégé par la législation en vigueur. Fourni à titre
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