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Article : [103] - Célébrations narcissiques


mercredi 3 décembre 2003

Par Corinne Durand Degranges

Au départ de cette synthèse, se trouve une phrase extraite de la biographie de Michel de CASTILLO, Colette, une certaine France dont on a un passage dans le manuel Foucher Français Premières technologiques de M. CONESA etc. p.17 : « Peu d’auteurs auront travaillé à l’élaboration de leur légende avec tant de persévérance ».
Il s’agissait donc de donner une liste d’auteurs dont l’activité littéraire est marquée par une « célébration[s] narcissique[s] » hors du commun.
Mise à jour le 05/02/2010.

Mes suggestions de départ
  Colette / Claudine
  Stendhal / Fabrice, Lucien... (les doubles fantasmatiques) ?
  David Bowie / Ziggy Stardust (références assez peu canoniques)

Une remarque préliminaire
  L’expression "peu d’auteurs" me paraît à moi plutôt curieuse... Le narcissisme ne serait-il pas plutôt une composante essentielle de l’espèce humaine en général et des écrivains en particulier ?

Réponses et suggestions

  Chateaubriand
  Salvador Dali, Journal d’un Génie par exemple.
  Marguerite Duras fait partie de ces auteurs narcissiques
  La Duras des dernières années ne se détestait guère non plus...
  Il me semble que l’on pourrait penser à Gide, dont le Journal sert essentiellement à dresser sa "statue".
  J’ajouterais volontiers le "couple" Gainsbourg-Gainsbarre.
  Romain Gary / Emile Ajar : n’a-t-il pas travaillé à l’élaboration de sa propre légende ?
  Giono, d’une certaine manière.
  Est-il encore temps, en cette année de centenaire de citer les "Bichons", les frères Goncourt, Jules et Edmond, qui ont passé leur vie à chercher un moyen de passer à la postérité comme l’atteste leur Journal. Mais il est vrai que leur prix est plus connu que leur oeuvre... oserai-je dire... parfois... peut-être... un soupçon... voire un peu plus... indigeste ?
  Je pense spontanément au Maître de Chapelle Kreisler chez Hoffmann.
  Hugo / Ego.
  Il y a des choses intéressantes dans Hugo, mais moins dans le sens du "narcissisme" que de la construction consciente d’un "ethos" destiné à assurer, à garantir par la personne de "l’auteur" la justesse des choix politiques défendus.
  Voir Victor Hugo raconté par un témoin de sa vie... Composé par lui-même en personne !
  Les aventures de Malraux en Indochine, la rapidité de son séjour chinois, sa "Résistance" patiente, son blouson d’aviateur commandé à Christian Dior sont peut-être révélateurs d’un certain goût de la "pose", mais son courage physique était indéniable.
  Ne peut-on penser à Montherlant, Les Olympiques, Aux fontaines du désir à ses photos en picador, rugbyman, athlète...ses blessures de guerre en 1914 avant que la biographie de P. SIPRIOT ne vienne révéler ses démarches pour éviter d’aller au front ?
  Fernando Pessoa avait une bonne dizaine de personnalités dont chacune signait un de ses livres ou poèmes. Attention, il semblerait qu’il ait été réellement schizophrène...
  Peut-être pourrait-on chercher du côté de Proust.
  Rousseau n’est pas mal non plus, sur le plan narcissique. Cette fois. Les Confessions sont certes bien autre chose que "l’élaboration d’une légende" (Rousseau = la victime), mais elles sont aussi cela, jointes aux Rêveries... et à Rousseau juge de Jean-Jacques.
  Dès son adolescence (à Pau et Bordeaux), Alexis Léger, futur Saint-John Perse, a travaillé son apparence (témoignages de Valery Larbaud, de Gabriel Frizeau, Francis Jammes, André Gide, etc.), et toute sa vie, aussi bien dans ses rapports avec les gens que dans ses activités professionnelles (diplomate jusqu’en 1940), il s’est composé un personnage. Il a distillé autour de lui les informations qu’ils voulaient voir reprises et celles-la seules (par exemple auprès de Roger Caillois, Alain Bosquet et Pierre Guerre), et si le poète a refusé toute approche biographique de son oeuvre (d’où l’affaire Maurice Saillet), apparemment pour des raisons solides (contre Sainte-Beuve, avec Proust et Valéry, toute la critique a suivi), c’est qu’il voulait par ce moyen empêcher qu’on voie le visage derrière le masque. Sur toutes ses photos il pose, quand Gisèle Freud l’a photographié, de même Lucien Clergue, le poète voulait, imposait le lieu, le cadrage, l’angle de vue. Son masque, sculpté par Andras Beck, est pour beaucoup ce qui le représente le fidèlement. Le sommet : "son" Pléiade (1972). Il l’a personnellement entièrement conçu et réalisé, "biographie" (à la 3ème personne) et appareil critique compris, avec une multitude d’informations biographiques toutes vraies, en même temps qu’elles instaurent une cohérence sans rapport direct avec la réalité telle qu’on peut la connaître aujourd’hui, avec reproduction d’anciennes lettres écrites par lui, par exemple depuis la Chine, sauf que nombre de ces lettres sont plus ou moins réécrites, voire inventées. Rien de malveillant dans ces remarques que les premiers gardiens du temple persien n’auraient pas acceptées, on s’entend aujourd’hui pour penser que tous ses écrits, jusqu’aux plus modestes, "biographie" et Pléiade compris, appartiennent à son Oeuvre poétique. Le dernier ouvrage qui vient de paraître sur lui (novembre 2003, Lettres à une dame d’Amérique, Mina Curtiss, Cahiers Saint-John Perse n° 16, Gallimard), montre notamment la distance entre ce qu’il a dit et ce que fut son retour en France et son installation sur la presqu’île de Giens. De même, sur tous les sujets, les volumes de correspondance précédemment parus. Je me demande vraiment si quelqu’un a travaillé à l’élaboration de sa légende avec plus de persévérance.
Jules César peut-être...
  Il y a évidemment Marguerite Yourcenar. La biographie de J. SAVIGNEAU est intéressante sur ce point. Mais bon, on leur pardonne, à la Colette, et à Marguerite ; avec tant de génie on a un peu le droit de croire en soi. Pas sûr d’ailleurs que cela soit du narcissisme ; mais une manière de vivre en littérature, une vie plus grande que la plate réalité quotidienne... Elles nous ont fait rêver ou plus...

Le cas Stendhal

  Je ne suis pas vraiment d’accord avec vous sur Stendhal, les doubles "fantasmatiques" n’élaborent pas de portrait narcissique, ne serait-ce qu’en raison du narrateur et de son ironie qui imposent une distance, le regard est aussi attendri que critique, certes, mais il interdit l’identification.
  En réponse à cette remarque, j’ai repris mes notes de licence pour l’étude de Lucien Leuwen. Le cours était celui de M. F. CROUZET (Paris IV). Effectivement, mon souvenir était lacunaire.
  Stendhal avait coutume d’annoter ses manuscrits (jusqu’à se perdre dans ses notes), trouvant ainsi l’occasion de placer ses propres réflexions. Sa création littéraire s’opère dans un double jeu de miroir : tout d’abord dans son texte où il intervient et surtout dans ses notes. Celles-ci constituent véritablement « un journal du roman » (Cf. la notion d’égotisme).
  Souvent il lui arrive de se désigner comme moi (l’animal) et l’auteur (« Dominique » ou « for me » « Master » « myself »). Cela ne va pas sans rappeler Gide qui se plaçait devant un miroir pour écrire (réflexion / réflexion).
  Le Moi doit pouvoir se répandre dans le manuscrit. L’homme considère que son Å“uvre est un prolongement de lui-même et les « happy few » ne sont qu’une extension du moi. Le public idéal c’est lui-même. Stendhal développe le mythe de l’Å“uvre à l’image du moi et pour le moi. L’égotisme envahit même les Å“uvres publiées (a fortiori celles non publiées. Ainsi, Armance n’est intelligible qu’à l’auteur puisque toutes les clés ont été enlevées).
  Le roman devient dès lors une extension du journal intime.
  Chez Stendhal, il y a une continuité entre l’écriture et la vie. Il est l’écrivain moi, Narcisse.
  Le papier devient l’identique de l’homme et le manuscrit devient son double. C’est l’avènement de l’homme papier, une « union » avec son écrit.
  On trouve La Chartreuse de Parme la note suivante : « Aimes-tu mieux avoir eu trois femmes ou avoir écrit ce roman ? ».
  Stendhal, cet homme obsédé par le besoin du secret est en même temps celui qui ne cesse de s’écrire : « le vrai Narcisse est celui qui se cache ».

Et aujourd’hui ?

  Aujourd’hui P. Sollers, G. Matzneff, M.E. Nabe (sans parler de ce pauvre J.E. Hallier) continuent le concours...

En poursuivant la réflexion, la question s’est posée de savoir ce qui avait présidé pour tel auteur au choix de son pseudonyme

GARY / AJAR

  La correspondance vient du sens des deux noms en russe : « gary » est l’impératif du verbe « goret » = brûler ; « ajar » vient de « jar » = chaleur. Au moment de l’affaire du double Goncourt, certains avaient émis l’hypothèse d’un Ajar-Gary justement à cause de cette parenté sémantique.
  De plus, en russe, « jar-ptitsa » signifie « l’oiseau de feu », le phénix qui renaît de ses cendres. Transparent, non...
  Pour Emile, par contre, je ne sais pas : le prénom n’existe pas en russe. Peut-être a-t-il été choisi parce qu’il était typiquement français.

SAINT-JOHN PERSE

  Pseudonyme inauguré avec Anabase, 1924 sous la forme « St-John Perse », on ignore son origine.,Le poète ne s’en étant pas vraiment expliqué, les critiques ont eu le champ libre. Toutes sortes d’hypothèses ont été avancées, mais aucune n’emporte la conviction. La question est agitée dans tous les livres sur SJP. Il en a été question dans plusieurs livraisons de Souffle de Perse, la revue de l’Association des amis de la Fondation SJP.

État des lieux, non exhaustif
  Pour une simple (?) et pure (?) question de sonorités, jeu des consonnes, voyelles et accents. C’est tout ce que le poète lui-même en a dit.
  « Perse » à cause du poète latin (mais Alexis Léger s’affirme plus helléniste que latin, il a traduit Pindare, il a transcrit des phrases en créole avec l’alphabet grec, etc.)
  « John » parce que ça fait américain. Certes en 1925 il n’était pas encore allé aux États-Unis mais les liens des grandes familles antillaises avec les Etats-Unis sont anciens et étroits, suite à diverses émigrations des familles. Et les Etats-Unis sont tout proches, juste de l’autre côté de la « Méditerranée américaine », au point qu’en 1899 par exemple, certains ont explicitement demandé aux Américains de venir prendre l’île comme ils avaient fait l’année précédente à Cuba. En 1899, les Léger sont encore en Guadeloupe (départ définitif en mars).
  « John » parce que ça fait anglais et Alexis Léger est anglophile (comme Valery Larbaud inventant Barnabooth). Il a séjourné une première fois à Londres en 1912 pour préparer le concours des consulats, et quand il adopte son pseudonyme, en 1924, il revient de Pékin, où les Anglais sont nombreux. Cela s’ajoute à une ascendance espagnole qu’il aimera toujours mettre en avant (mais qui n’apparaît plus dans le pseudonyme). Son anglophilie sera manifeste quand il sera secrétaire général des Affaires étrangères (à partir de 1933 et jusqu’en 40).
  Il y avait des « Saint-John » en Guadeloupe à l’époque où il y a vécu (1887-1899), notamment du côté de Capesterre (et donc de l’habitation Bois-debout)
  « Saint-John Perse » sur le modèle de Saint-John Spencer, dont le nom lui a plu (auteur d’un livre sur les nègres, ça c’est une hypothèse personnelle, je l’ai exposée dans Souffle de Perse, elle a pu jouer mais sans rien déterminer).
  « Saint-John Perse » sur le modèle de St John de Crèvecoeur, un auteur américain qui a écrit sur les Antilles (c’est Roger Little qui a le premier exprimé cette hypothèse).
  « Saint » parce qu’avec « John » (= modernité) et « Perse » (= haute culture), « Saint » ouvre une perspective d’un autre ordre (faut-il dire spirituelle, mystique, religieuse ?). Au total, difficile de trouver plus riche en « choses élogieuses ». Claudel (rencontré chez Jammes dès 1905) a dû apprécier, la question du mysticisme et du panthéisme de SJP.

  « Saint-John Perse » (ou St-John Perse ou St.John Perse) n’est pas son premier pseudonyme.
Les premiers poèmes publiés dans la toute jeune NRF de Gide, en 1909-1910-1911, sont signés « SaintLeger Leger » (qu’on trouve aussi sous la forme « Saint-Leger Leger » ou « St.Leger Leger », avec ou sans accents). C’est ainsi que le désigne Proust quand il met en scène Céleste lisant Éloges.
  « Léger Léger » ? Il a eu un parent dont le prénom était Léger, d’où un premier « Léger Léger »
  « Saint », pour une raison déjà dite (la première version d’Images à Crusoé est beaucoup plus marquée de signes religieux chrétiens que le texte qu’on connaît, influence probable de Francis Jammes mais qui rencontre un terrain favorable (Alexis Léger faisait bien plaisir à sa maman « très-chrétienne » en rapportant des bons points du catéchisme).
  « Saint-Léger » à cause de... « saint Léger », l’évêque d’Autun. Le poète s’est rêvé une ascendance bourguignonne, ses origines seraient Saint-Léger sur Dheune et Saint-Léger sur Beuvron. Comme les familles nobles (du côté de sa mère les Leyritz étaient nobles), il portait ainsi le nom d’une terre. Pourquoi la Bourgogne et pourquoi saint Léger ? Parce que quand on s’appelle Léger et qu’il y a des dictionnaires dans la bibliothèque de papa, on cherche son nom et on trouve.

  Il a voulu faire passer « Saint-Léger Léger » pour son vrai nom, son Pléiade donne à lire de vraies-fausses lettres « Ã  madame Saint-Léger Léger », sa mère, et sur un site d’enchères (e-bay), on vendait récemment une carte de visite « Saint-Léger Léger ». On vous demande vos papiers à vous quand vous faites imprimer une carte de visite ?
  Il n’empêche, pour beaucoup, pendant longtemps, telle était la vérité. Consultez les dictionnaires, anthologies, manuels, même récents, on y lit souvent « Saint-John Perse, de son vrai nom Saint-Léger Léger... ». On l’a connu comme secrétaire des Affaires étrangères sous le nom de Léger, qu’il a présenté comme une abréviation de son nom, alors que c’est l’inverse : « Léger » est au départ, « Saint-Léger Léger » en est le développement.

  Son père s’appelait Léger (Amédée), son grand-père s’appelait Léger (Alexis, déjà), son grand-oncle s’appelait Léger (Anatole, c’est le grand homme de la famille, une rue de Pointe-à-Pitre porte encore son nom aujourd’hui), bien d’autres parents ont été des notables... Bizarre cette distance prise par rapport à un nom dont il n’avait pas à rougir, d’où Saint-John Perse, bizarre le relatif silence sur tous ces Léger dans son Pléiade où l’ascendance maternelle est seule développée. D’autant plus bizarre que, à l’inverse, le premier pseudonyme, avec son « Léger Léger », disait plutôt deux fois qu’une le nom du père.

  Même sur le nom de Léger, il a joué en imposant la graphie « Leger » (sans accent, comme Clemenceau), alors que l’extrait de naissance conservé à l’État-civil de Pointe-à-Pitre donne bien "Léger".

  Mais il eut bien d’autres surnoms dès l’enfance. Du surnom au pseudonyme, il n’y a qu’un pas. Il restera longtemps « Allan » (pour sa mère), il a été aussi « Diego » (ah, l’Espagne), il a signé « Cici Sevil » (Cici vient d’Alexis, et « Sevil c’est « levis » à l’envers et « levis » en latin c’est « leger »), etc. Et il en aura bien d’autres plus tard, dont témoignent les éditions récentes de sa correspondance, par exemple avec Mina Curtiss (où il est notamment « Pierre Fenestre »). Quand, dans Eloges, il évoque les Antilles françaises par la formule « Kind Light’s settelments », « King Light » c’est bien sûr le Roi Soleil, mais « light » en anglais c’est aussi « léger ». Roi Léger ? De fait, le jeune garçon au milieu de ses quatre sÅ“urs, avec plein d’oncles et de servantes luisantes, a eu une enfance de roi sous les Tropiques, comment n’en éprouverait-il pas de la nostalgie.

  La question du pseudonyme peut a priori sembler anecdotique, elle ne doit pas être vaine quand elle se relie à une pratique si constante du masque. Et si la poésie était un moyen parmi d’autres de brouiller les pistes, d’avoir l’air de parler de tout et de rien alors qu’on n’y parle que de soi ? Saint-John Perse a trop systématiquement refusé les approches biographiques de son oeuvre, il a trop voulu maîtriser ce qu’il voulait qu’on en sache, pour qu’on ne s’en préoccupe pas.

Additifs
  St John de Crèvecoeur (1735-1813) est l’auteur de Letters from an American farmer (1782, titre complet Letters from an American farmer describing certain provincial situations, manners and customs not generally known and conveying some idea of the late and present interior circumstances of the British colonies in North America. Traduction en français (et en allemand) dès 1784. De multiple fois réédité. Sur cette hypothèse, voir Roger LITTLE, Études sur SJP, 1984.
- Autre hypothèse (du même Roger LITTLE) pour « Perse » : Persse O’Reilly dans Finnegans Wake de James Joyce, d’autant que SJP avait d’abord envisagé son pseudonyme avec 2 s : « Persse ».
- Autre hypothèse : Saint-John, Percy (1821-1889), auteur de The Arctic Crusoe, a tale of the Polar seas, paru à Londres (date inconnue), traduit en français en 1863 sous le titre Le Robinson du Nord. Hypothèse émise une première fois par Joëlle GARDES-TAMINE dans Souffle de Perse, n° 1, 1991, approfondie dans La Stratégie de la seiche, 1996.
- Spencer Saint-John, Sir Saint-John Spenser Buckingham, est l’auteur de Hayti, or the Black Republic, traduit en français en 1886 sous le titre Haïti, ou la République noire. Hypothèse émise dans Souffle de Perse, n° 2, 1992.

A consulter
  Une page entière consacrée à la question du pseudonyme sur le site SJP de Loïc Céry.

Merci à Claude Thibaud pour cette contribution exceptionnelle.


Ce document correspond à la synthèse de contributions de collègues professeurs de lettres échangées sur la liste de discussion Profs-L ou en privé, suite à une demande initiale postée sur cette même liste. Cette compilation a été réalisée par la personne dont le nom figure dans ce document. Ce texte est protégé par la législation en vigueur. Fourni à titre d’information seulement et pour l’usage personnel du visiteur, il est protégé par les droits d’auteur en vigueur. Toute rediffusion à des fins commerciales ou non est interdite sans autorisation.

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